Lorsqu’on découvrira de la vie sur une exoplanète, elle pourrait être le résultat d’une coopération biochimique plus probable dans la nature que ce qu’on croit, selon une étude de l’UdeM.
La théorie de l’évolution de Darwin n’est probablement pas le seul élément requis pour expliquer l’émergence de la vie: même dans un environnement aride propice à une féroce compétition, la coopération entre certains réseaux de molécules pourrait être à l’origine de l’apparition de la vie sur Terre et, par extension, ailleurs dans l’Univers. Et cette coopération pourrait aussi avoir lieu plus facilement que prévu dans la nature.